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Fabrice Peltier - Espace exposition Juste Emballage

Fabrice Peltier - le juste emballageEspace d'exposition et visites guidées
"Le Juste Emballage"


Fabrice Peltier a conçu pour le salon Prod&Pack une exposition organisée autour des principales phases de vie du produit emballé :
- les matériaux d'emballages,
- l'éco-conception des emballages,
- la production et la logistique des produits emballés,
- la distribution et la vente des produits,
- la consommation et l'utilisation des emballages,
- la fin de vie des emballages.

L'objectif de cet espace " immersif ", est d'inviter le visiteur à déambuler librement dans un parcours pédagogique ou de suivre une visite guidée qui, dans les deux cas, lui permet d'appréhender, exemples à l'appui, les bonnes pratiques et les solutions concrètes qui s'offrent à lui pour concevoir un "Juste Emballage".

Fabrice Peltier - Espace le juste emballage

6 portes d'entrées thématiques permettent d'accéder dans l'espace "Le Juste Emballage". À l'intérieur, les visiteurs découvrent une véritable matériauthèque présentée et expliquée à la manière d'un livre ouvert qui donne les explications nécessaires.

Fabrice Peltier - Espace le juste emballage

Au centre de l'exposition, un "corner" librairie qui propose les livres de Fabrice Peltier, pour celles et ceux qui souhaitent approfondir et mettre en pratique le "Juste Emballage".

Fabrice Peltier - Espace le juste emballage


Des visites guidées réalisée par Fabrice Peltier autour de l'espace, avec de nombreux temps d'échange qualitatifs.

Fabrice Peltier - Visites guidées espace Juste Emballage

 

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Visite de l'exposition le "Le Juste Emballage"

Découvrez les 6 espaces de l'exposition, réalisés avec du carton brun recyclé et recyclable.

Les matériaux d'emballage

Fabrice Peltier - Espace le juste emballage - Materiaux

La filière de l’emballage et du conditionnement est une industrie très diversifiée, qui fait appel à une large palette de ressources naturelles ou industrielles. L’exploitation des forêts pour le bois, les papiers et cartons, l’extraction des minerais tels que la bauxite pour les métaux, le sable pour le verre, ou la chimie du pétrole pour les résines synthétiques, sont à la base des différentes filières de matériaux. L’emballage peut être un débouché majeur comme dans le cas des plastiques et de la fibre papetière, ou tout à fait secondaire comme dans le cas des métaux. 

C’est ce qui explique que l’impact réel de la filière de l’emballage sur la gestion des ressources naturelles s’avère particulièrement délicat à déterminer. Dans l’économie moderne, l’interdépendance des différentes activités rend parfois difficile l’identification des enjeux et des priorités. Une industrie entière peut se construire sur la transformation d’un sous-produit issu d’une autre. La plasturgie s’est ainsi en partie développée sur l’exploitation de l’éthylène issu du crackage du naphta dans la pétrochimie. C’est pourquoi il est impossible d’attribuer aux emballages en matière plastique une quelconque responsabilité dans l’appauvrissement des ressources pétrolières. Dans la filière papetière, l’idée reçue que l’industrie détruit la forêt reste largement partagée. Elle va pourtant à l’encontre de la réalité : en Europe et en Amérique du Nord, les papetiers contribuent à l’entretien des forêts et exploitent des sous-produits qui, par exemple, ne conviennent pas à l’ameublement. La déforestation dont souffre l’Amérique du Sud ou l’Indonésie a bien d’autres causes.

C’est désormais un fait reconnu et incontestable, les ressources de la Terre ne sont pas inépuisables. À la vitesse à laquelle vont les choses, on estime qu’un grand nombre de ressources naturelles seront épuisées au cours des trois prochaines décennies et, avec certitude, avant la fin du siècle. L’épuisement des ressources naturelles de la terre sera un enjeu crucial durant les prochaines années. Il devient impossible de ne plus s’en préoccuper car dès 2050 et avant la fin du 21e siècle, on peut s’attendre à la fin du pétrole, du minerai de fer, de la silice, des matériaux largement employés pour fabriquer les emballages. Ainsi, de plus en plus de personnes souhaitent que les emballages soient réalisés dans des matériaux alternatifs renouvelables, au rythme de ce que la planète est capable de nous offrir, qu’ils soient 100% recyclables et effectivement recyclés.

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Fabrice Peltier - Espace le juste emballage - Materiauxd

Fabrice Peltier - Espace le juste emballage - Materiauxd
 

L'éco-conception des emballages

Fabrice Peltier - Espace le juste emballage - Eco-Conception

Les industriels, qui ont recours à l’emballage pour commercialiser leurs produits, semblent bien appliquer la directive Européenne 94/62/CE du 20 décembre 1994, relative à la gestion des emballages et des déchets d’emballages, ainsi que le décret n° 98-638 du 20 juillet 1998 du droit français qui prône la réduction à la source comme moyen de prévention, essentiellement basée sur la diminution de leur poids. Depuis la mise en place de ces mesures, malgré une augmentation de la population, nous assistons à une décrue sensible du tonnage des emballages mis en marché. Cependant, il semble bien que nous ayons atteint les limites de cette démarche d’allègement
- limite physique d’une part, car pour la plupart des matériaux nous sommes arrivés au seuil au-delà duquel les fonctionnalités, notamment d’usage de base deviennent délicates à assurer : c’est le cas notamment pour les contenants en plastique qui se déforment à l’utilisation ;
- limite intellectuelle d’autre part, car il faut bien reconnaître que cela n’a pas contribué à mettre moins d’emballages sur le marché. Bien au contraire, cela a plutôt encouragé la multiplication des « formats allégés », comme par exemple des « éco-recharges » et autres présentations en plastique souple complexe. Certes ceux-ci utilisent beaucoup moins de matériau d’emballage, mais ils sont pour la plupart non recyclables et dans la quasi-totalité des cas n’offrent aucune répercussion significative au consommateur en terme prix d’achat au poids ou au volume.
Car certes, cela a permis de diminuer sensiblement le poids des emballages mis sur le marché, mais n’a en aucun cas contribué à en réduire le nombre, ni à nous permettre d’atteindre les objectifs fixés en matière de recyclage. Bien au contraire, nous pouvons dire que l’allègement des emballages a masqué la réalité de la croissance continue du nombre d’unités d’emballages mises sur le marché. Pire, les emballages souples, champions de l’allègement, affichant fièrement des baisses de 60 à 80% d’utilisation de matière plastique, sont pour la plupart non recyclables. La réduction s’est donc faite au détriment du recyclage alors qu’éco-concevoir devrait toujours avoir comme postulat la recyclabilité et le réemploi.

Aujourd’hui la recette magique de l’éco-conception tient en trois mots : « 3R », pour Réduction, Réemploi et Recyclage. Le mot Réduction ne signifie plus uniquement l’obligation de Réduire le poids des emballages, mais affirme la volonté d’en diminuer drastiquement la quantité mise sur le marché et notamment celle des emballages à usage unique en plastique. Le mot Réutilisation est remplacé par celui de Réemploi, un terme qui englobe tout un dispositif à mettre en place pour utiliser à nouveau un emballage, pour un usage identique à celui pour lequel il a été conçu. Quant au mot Recyclage, lui aussi désigne désormais l’ensemble d’une chaîne de valeur qui ne consiste pas uniquement à Recycler, mais à faciliter la réintégration de toujours plus de matière recyclée et recyclable dans la production des emballages, afin de tendre vers une utilisation en boucles des matériaux.

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Fabrice Peltier - Espace le juste emballage - Eco-Conceptiond

Fabrice Peltier - Espace le juste emballage - Eco-Conceptiond 


La production et la logistique de produits emballés

Fabrice Peltier - Espace le juste emballage - Production - Logistique

Pour certains produits, l’emballage est véritablement un élément essentiel du procédé de fabrication, voire une condition sine qua non à leur existence... Parmi ceux-ci, le plus emblématique est certainement le Champagne. En effet, sans sa bouteille en verre pas de Champagne ! C’est effectivement dans cette bouteille, qui répond à un cahier des charges spécifique, que s’opère durant plusieurs semaines le processus de fermentation qui rend le vin pétillant. Sans pour autant que cela soit toujours précisé explicitement, l’emballage est souvent indissociable dans l’élaboration de nombreux produit. Il peut être le récipient dans lequel sont disposés les ingrédients de la recette qui contribuent à réaliser le produit fini. Dans ce cas, il peut servir à sa mise en forme, sa transformation ou sa cuisson…

Afin d’assurer les livraisons, vers les entrepôts de stockage et les points de vente, c’est toujours un système complet d’emballage très protecteur qui est déplacé. Celui-ci peut d’ailleurs représenter la quantité minimum à acheter pour un distributeur. Effectivement, si pour le consommateur l’emballage est l’unité de vente qu’il trouve dans les rayons d’un magasin, pour le fabricant du produit pré-emballé, elle représente généralement l’unité logistique qui quitte son usine en direction du point de livraison de son client distributeur, à savoir : une palette complète. Celle-ci est constituée des emballages primaires pleins, éventuellement protégés par des emballages secondaires, l’ensemble conditionné dans des emballages de transport. Le tout parfaitement empilé et protégé par des éléments d’emballage tertiaire : une palette, parfois des cornières de protection d’angles, un cerclage constitué de liens métalliques ou plastiques pour maintenir l’ensemble, puis une coiffe en carton ou en plastique rétractable, ou bien plusieurs dizaines de mètre de film étirable pour solidariser et protéger le tout. Enfin, l’ensemble est étiqueté pour identifier, informer, mettre en garde contre des risques, indiquer la destination du contenu...

C’est cet ensemble, qualifié de système d’emballage, qui est déplacé sur des convoyeurs et des chariots élévateurs pour entrer dans les modules de rayonnage des entrepôts et être chargé dans les remorques de camions sans la moindre perte d’espace.

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Fabrice Peltier - Espace le juste emballage - Production - Logistiqued

Fabrice Peltier - Espace le juste emballage - Production - Logistiqued


La distribution et la vente des produits

Fabrice Peltier - Espace le juste emballage - Distribution - Vente

L’immense majorité des emballages ménagers, c’est-à-dire ceux destinés aux produits de consommation courante, ont été conçus pour la vente en libre-service dans les rayonnages de la grande distribution. Aujourd’hui, les emballages commercialisés dans les grandes enseignes sont le modèle dominant, pour ne pas dire le « modèle unique » sur lequel sont alignés quasiment tous les metteurs en marché. Ainsi, la taille des emballages, le poids des couples contenant-contenu, la façon de présenter le produit, correspondent à des exigences particulières qui visent non seulement à faciliter la mise en rayon et la prise en main par les clients, mais aussi le passage en caisse. Il en est de même pour certains emballages de transport qui sont spécialement conçus pour faciliter la présentation des unités de vente dans les rayons.


Si une nouvelle ère de l’emballage doit se dessiner sans attendre, c’est aussi parce que les modes de distribution des produits de grande consommation évoluent. Le commerce en ligne et la vente à distance ont connu un tel essor ces vingt dernières années, et vont prendre encore de plus en plus d’importance, qu’il semble bien qu’ils soient appelés à devenir les modes d’achat dominants de notre société de consommation. Ces moyens de commercialisation ne peuvent plus se contenter de vendre des produits conditionnés dans des emballages conçus exclusivement pour un circuit de distribution en libre-service, dans des rayons de magasins physiques. Tout comme le Drive et le Click and collect, des formes hybrides de vente à distance, qui connaissent une forte croissance et, même si elles ont été initiées par les commerçants traditionnels, petits et géants, elles ne disposent pas, elles non plus, d’emballages adaptés. Toutes ces nouvelles formes de commerce et de distribution imposent désormais à leurs acteurs de conditionner à la demande un ou plusieurs produits pré-emballés dans des « justes emballages », pour les expédier, très rapidement, à moindre coût, de façon responsable et sans générer trop de déchets dans des « justes emballages » d’expédition.

Un autre mode de commercialisation qui a une réelle incidence sur notre perception de l’emballage est en plein essor depuis quelques années : le vrac. Ce mode de commercialisation des produits évoque pour certains une sorte de retour en arrière avec de multiples inconvénients, alors que pour d’autres, il représente une solution innovante extrêmement vertueuse. Une chose est certaine, le vrac est perçu, tant par le législateur que par de nombreux consommateurs, comme une excellente solution pour réduire la quantité d’emballages mise sur le marché et dans les faits, c’est incontestable. Ainsi, de nombreuses mesures sont prises pour encourager et favoriser ce mode de vente dans des emballages ou des contenants réemployables ou réutilisables.

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Fabrice Peltier - Espace le juste emballage - Distribution - Vented

Fabrice Peltier - Espace le juste emballage - Distribution - Vented


La consommation et l'utilisation des emballages

Fabrice Peltier - Espace le juste emballage - Consommation - Utilisation

Il n’est plus à démontrer que l’usage d’un produit va de pair avec l’usage d’un emballage, tous deux étant indissociables et que cela suscite de nombreuses attentes. Pour tous les produits pré-emballés, quel qu’en soit la nature, la praticité de l’emballage et le service apporté à l’utilisation sont plébiscités par les consommateurs. Pour un produit d’utilisation fréquente par exemple, la simplification ou bien l’amélioration de l’expérience d’usage sont citées en tête de toutes les attentes des clients et des utilisateurs. Ceux-ci se déclarent même prêts à payer un surcoût, si l’évolution de la praticité et le service rendu sont jugés réels et sérieux…

Le système de bouchage de l’emballage, son ouverture tout comme de fermeture entre deux usages en cas de besoin sont capitaux pour satisfaire les utilisateurs. Le système de bouchage doit être, bien entendu, parfaitement étanche et sûr, c’est lui qui assure l’inviolabilité du produit, il en est même le garant. Néanmoins, qu’elle qu’en soit sa nature, il doit être très facile à ouvrir. L’utilisateur, partisan du moindre effort, ne doit pas avoir à se poser de question devant un emballage. La fermeture, après usage, procède des mêmes principes : toujours plus de sécurité, toujours plus de commodité. Ces fortes attentes vis-à-vis des consommateurs vis-à-vis des emballages, lorsqu’elles ne donnent pas entière satisfaction, sont des causes de non rachat d’un produit emballé.

L’emballage est un objet qui se manipule quotidiennement, par des mains de morphologies toutes différentes. L’amélioration de la préhension est un réel plus offert à l’utilisateur. Plusieurs solutions sont proposées pour rendre les emballages plus préhensibles.

S’il est désormais convenu qu’un emballage doit être extrêmement facile à utiliser, il ne lui est pas obligatoirement demandé d’offrir ce petit plus qui fait la différence : le service. Cependant, tous les clients sont sensibles aux attentions dont les marques font preuve vis-à-vis d’eux. Sur un emballage, l’apport de service est un axe d’évolution très apprécié par les consommateurs, pour peu que le bénéfice d’usage soit effectif et qu’il n’entraîne pas une différence de prix excessive du produit.

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Fabrice Peltier - Espace le juste emballage - Distribution - Vented

Fabrice Peltier - Espace le juste emballage - Consommation - Utilisation-d


La fin de vie des emballages

Fabrice Peltier - Espace le juste emballage - Fin de vie

Trouver une fin de vie pertinente aux emballages est une priorité pour tous les acteurs de la chaîne de consommation, du consommateur aux collectivités locales en passant par les industriels. Organisée par la directive 94/62/CE du 20 décembre 1994, la réglementation européenne sur les emballages et les déchets d’emballages prévoit plusieurs filières de valorisation : le recyclage, l’incinération propre avec récupération d’énergie, le compostage et la réutilisation. En fixant des seuils de recyclage élevés, l’Union européenne met délibérément l’accent sur le recyclage. Notons enfin que les centres d’enfouissement techniques (CET), les décharges modernes, sont désormais réservés aux déchets dits ultimes.

Depuis 2018 tout s’accélère. C’est un véritable arsenal législatif qui déferle sur le secteur du produit pré-emballé. La directive européenne Single-Use Plastics (SUP) donne le ton avec ses premières interdictions de mise sur le marché, et l’obligation de prévoir un système d’attache pour que les bouchons et couvercles en plastique restent solidaire de leurs contenants afin qu’ils ne finissent pas leur vie dans la nature et qu’ils soient systématiquement recyclés. Le 11 février 2020, la loi Anti-Gaspillage et pour une Économie Circulaire (AGEC) qui comporte de nombreuses mesures sur l’emballage est adoptée. Un de ses décrets d’application, dit « 3R » pour Réduction, Réemploi, Recyclage, est publié le 30 avril 2021. Si ce décret est non contraignant et ne fixe aucune interdiction, il définit néanmoins des objectifs pour la période 2021-2025, pour tendre vers la fin de la mise sur le marché d’emballages en plastique à usage unique d’ici à 2040. La loi prévoit que d’autres décrets d’application seront promulgués tous les 5 ans jusqu’à cette échéance mais l’objectif fixé est de développer le réemploi et d’imposer le recyclage de tous les emballages...  Enfin, la loi Climat et Résilience, publiée au Journal Officiel le 24 août 2021, entend développer la vente en vrac avec des contenants réutilisables et interdire certains emballages à usage unique issus de polymères...

Toutefois, le grand chambardement reste à venir avec le Pacte vert pour l’Europe qui vise la neutralité carbone du continent d’ici 2050. Dans les plans en discussion, l’emballage figure toujours en bonne place. Et enfin la révision de la directive emballage et déchets d’emballages déjà en cours de réexamen avec pour objectif :
- d’améliorer la conception des emballages pour promouvoir le réemploi et le recyclage ;
- d’augmenter le contenu de matière recyclée des emballages ;
- de lutter contre le suremballage ;
- de réduire toujours plus les déchets d’emballages…

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Fabrice Peltier - Espace le juste emballage - Fin de vied

Fabrice Peltier - Espace le juste emballage - Fin de vied

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